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À s’offrir en partage

Éditer, c’est avoir envie de partager

Je n’ai jamais pu répondre à la question « Pourquoi devient-on éditeur ? » Pourtant, dès l’adolescence, je savais que c’était par ce métier que je voulais me réaliser. J’en ignorais tout, sinon qu’il allait nécessairement me faire découvrir le monde. Mais il y avait une autre chose, sous-jacente et certainement plus déterminante (je le sais aujourd’hui) : l’envie, plus, le besoin, de partager mes lectures.

« C’est de cette manie qu’est née la collection À s’offrir en partage ».
Barbey, Chateaubriand, Dumas, Galland, Kipling, Maupassant, Nerval, Rilke, Sade, Tocqueville, tous ces auteurs font partie de ma bibliothèque idéale. Choisis un à un pour leur valeur littéraire, édités dans une présentation que j’ai voulu soignée, ces textes sont proposés aux lecteurs dans le désordre qui est le mien.
Dans les collections qui publient des « classiques », l’usage veut que l’on fasse préfacer les textes par des spécialistes qui les remettent dans le contexte de l’histoire littéraire. Ici, j’ai demandé à des écrivains, à des femmes et des hommes de culture, de dire, en quelques feuillets, pourquoi l’œuvre choisie leur importait et pourquoi ils avaient envie de la transmettre personnellement au public.
Pressentis, Pierre Assouline, Élie Barnavi, Tahar Ben Jelloun, Jean Daniel, Michel Delon, Max Gallo, Jean Lacouture, Michel Le Bris, Henri Mitterand, Denis Tillinac, ils m’ont tous fait l’amitié de me suivre.
Grâces leur soient rendues pour leur confiance !
Avec de tels incitateurs, le navire peut prendre le large...
Je voudrais également remercier mes complices, Bernadette Dubois et Véronique Leblanc (auteurs des notices biographiques), de m’accompagner dans cette aventure, et saluer Nathalie Skowronek : elle sait ce que je lui dois, nos nombreux échanges sont à l’origine de l’idée de cette bibliothèque – tant dans son fond que dans sa forme.

André Versaille

Un concept tout à fait remarquable

La collection « À s’offrir en partage » qui est publiée par André Versaille éditeur se développe largement. Le principe est toujours le même : un texte court, classique, introduit par un écrivain contemporain. Par exemple, Le Harem du Caire de Nerval, texte extraordinaire, présenté par Henri Mitterrand. […]
Je suis, à titre personnel, amoureux du concept qui est tout à fait remarquable. C’est vraiment une collection que je recommande à nos auditeurs.

Bernard Delcord, Livre de bord n°42, 17 novembre 2009)

Une façon de partager son émotion de lecture

Plus que des classiques, la collection « À s’offrir en partage » publiée par la maison d’édition André Versaille permet de découvrir ou redécouvrir les œuvres que l’on a aimées, présentées par de grands auteurs, à tout petit prix. Une façon de partager son émotion de lecture en offrant un cadeau à ses proches ! Entretien avec André Versaille.

Julie Devaux, Canal Académie, Au fil des pages, 13 septembre 2009)

Le pari à la fois de l’esthétique et de l’érudition

Dans le livre en format de poche, on trouve une offre immense, alléchante, bon marché. Parfois aussi on trouve des pépites comme cette nouvelle collection, « À s’offrir en partage » […]. Ce sont des classiques présentés par des écrivains contemporains, comme la nouvelle de Maupassant, L’Héritage, présentée par Pierre Assouline, ou Le Bonheur dans le crime de Barbey d’Aurevilly porté aux nues par Denis Tillinac. Alors c’est comme une bibliothèque personnelle d’éditeur qui fait le pari à la fois de l’esthétique et de l’érudition. Et ça coûte 5 euros. C’est pas mal, non ?

Christine Ferniot, Télérama Radio, 2 mai 2009

Il est beau de “s’offrir en partage” les livres aimés

L’éditeur André Versaille a conçu cette jolie collection de classiques aux couvertures soignées, parce qu’il est beau de “s’offrir en partage” les livres aimés.

(S. G., hors-Série Marianne et Magazine littéraire, Les Meilleures lectures de l’été, juillet-août 2010)

Des œuvres inattendues ou oubliées, présentées élégamment

Après La Fin de Napoléon de Chateaubriand présenté par Max Gallo, Le Bonheur dans le crime de Barbey d’Aurevilly proposé par Denis Tillinac, voici la dernière livraison de la collection de poche baptisée « À s’offrir en partage », éditée par André Versaille. Six nouveaux titres sont proposés au prix unitaire de cinq euros. [...] Des œuvres inattendues ou oubliées, présentées élégamment [...] : L’argot est né de la haine ! de Céline, [...] la correspondance amoureuse et malheureuse de Julie de Lespinasse, Je vous aime avec excès, folie, transport et désespoir, Le Diable de Tolstoï, Comment Ivan Ivanovitch se brouilla avec Ivan Nikiforovitch de Gogol, Bela, princesse caucasienne de Mikhaïl Lemontov et La Jeune Mariée et autres souvenirs de I.B. Singer.

Le Figaro Littéraire, 18 mars 2010

Pour les fêtes, offres-vous ou offrez à vos amis

Pour les fêtes, offres-vous ou offrez à vos amis de petits ouvrages à mini-prix dans la collection « À s’offrir en partage » chez André Versaille éditeur.
Connus ou introuvables, des nouvelles, essais, récits, extraits de correspondances ou Mémoires, édités dans une présentation soignée, proposés au prix mini de 5 € chez André Versaille Editeur à Bruxelles.
Chaque texte est proposé par une femme ou un homme de culture et accompagné d’une notice « universitaire ».

Ronald Hellin, Histoire et enseignement, 4e trimestre 2009)

Une heureuse initiative

Entamer une nouvelle collection est toujours une gageure éditoriale. Aussi pouvons-nous saluer l’heureuse initiative de l’éditeur belge André Versaille qui a fait paraître les premiers volumes d’une nouvelle collection littéraire joliment intitulée “À s’offrir en partage”. Les titres parus montrent le désir de faire connaître ou redécouvrir des classiques trop souvent mal connus ou négligés. […] Les oeuvres et leurs auteurs sont présentés par un écrivain actuel, romancier, essayiste ou journaliste. Le petit format et la présentation soignée font que ces livres sont plaisants et que leur prix les rend aussi accessibles qu’un magazine. La diversité de la collection est tout aussi intéressante : auteurs français ou étrangers, essais ou nouvelles, oeuvres populaires ou plus savantes, chaque lecteur a des chances d’y trouver un livre à son goût.

Vinciane Strale, Lectures, septembre-octobre 2009)

Une très belle idée cadeau

Belle idée que de rééditer ces petits classiques (avec Sade, Chateaubriand, Maupassant, Barbey d’Aurevilly, Rilke), parfois introuvables et introduits à chaque fois par nos contemporains : la collection « À s’offrir en partage » est, en effet, une très belle idée cadeau.

TGV Magazine, juin 2009

Grand coup de cœur

Une nouvelle collection tout en sobriété. Des textes d’auteurs classiques dont la préface, écrite par un spécialiste (Tahar Ben Jelloun, Max Gallo…) n’explique pas le contexte historico-littéraire mais le besoin et l’envie de les transmettre. Petits ouvrages, petits prix (5€), et grand coup de cœur.

Céline Toussaint, Lou, mai 2009)

Des classiques connus, insolites ou inattendus

Bonne idée que cette nouvelle collection lancée par l’éditeur André Versaille. Intitulée « À s’offrir en partage », elle propose en effet des classiques connus, insolites ou inattendus, des essais, récits, nouvelles, correspondances ou extraits de Mémoires à petits prix (5 €) à offrir et partager. Car qui n’a jamais eu envie, après avoir refermer un livre qu’il a aimé, de partager son plaisir ou son émotion. […] Chacun de ces textes est proposé par une femme ou un homme de culture qui entretient un rapport intime à la littérature. Une belle idée de cadeau.

Christelle Dyon, Metro, le 27 avril 2009)

Petitesse du format, beauté du design et des couvertures, qualité des textes et modicité du prix

On ne cesse de parler de désaffection de la lecture. Il s’agit plutôt de produits qui ne sont pas adaptés au public actuel. C’est le credo de deux petits éditeurs qui jouent dans la cour des grands. […] Deux collections qui conjuguent la petitesse du format, la beauté du design et des couvertures, la qualité des textes. Et la modicité du prix. Chez Versaille, c’est 5 euros le titre de la collection “À s’offrir en partage”. […]
« Lire Les Mémoires d’Outre-tombe de Chateaubriand, c’est long, dit André Versaille. Mais La Fin de Napoléon, ça se lit en 1h30, ça permet de comprendre toute l’acuité du regard et d’inciter peut-être à lire davantage ensuite. » […]
Et ça marche ? […] « Beaucoup en achètent plusieurs à la fois. Pour eux ou pour faire des cadeaux », ajoute André Versaille. Une dimension intéressante. Ces livres sont beaux, on vous l’a dit. Le format pratique, à emporter, à mettre en poche, à lire dans le métro.

Jean-Claude Vantroyen, Le Soir, le 22 avril 2009)

Un pari esthétique et littéraire

C’est une histoire de parti pris : celui d’un éditeur, lecteur et érudit. La collection « À s’offrir en partage » est un pari esthétique et littéraire : des textes classiques, présentés comme des coups de cœur par des écrivains contemporains enthousiastes. […] Huit titres comme des cadeaux pour bibliophiles à revenus modestes.

Télérama, le 8 avril 2009

Une excellente initiative

S’offrir les classiques de luxe pour 5 €. Une petite collection de poche de textes fabuleux à emmener partout, un prix modique de cinq euros pour toutes les bourses, une édition très soignée, une présentation par une personnalité animée par l’envie de partager son plaisir de lire et relire quelques classiques. Cela s’appelle « À s’offrir en partage » et c’est dû à l’excellente initiative de l’éditeur André Versaille. Michel Le Bris présente La plus belle histoire du monde de Kipling, Max Gallo ouvre la lecture de La Fin de Napoléon de Chateaubriand. Denis Tillinac propose Le Bonheur dans le crime de Barbey d’Aurevilly. Une douzaine de perles du genre sont annoncées sur les rayonnages avec pour seule logique le plaisir gourmand et partageur de l’éditeur.

Ouest France 24 mars 2009

Des textes rares ou devenus introuvables

L’idée de cette nouvelle collection est d’associer deux auteurs, un classique et un contemporain. Ce dernier choisit et présente son prédécesseur. Il en résulte de petits livres à petits prix, riches de textes rares ou devenus introuvables.

Centre France Dimanche, le 22 mars 2009

Pour donner le goût d’entrer dans l’œuvre

Avec « À s’offrir en partage », André Versaille propose une bibliothèque d’éditeur dans de petits volumes à 5 euros : des petits textes de la littérature classique, présentés en quelques pages par un auteur contemporain dont la mission est de donner le goût d’entrer dans l’œuvre.

Catherine Andreucci, Livres Hebdo, le 20 mars 2009

Un plaisir de convivialité

Le plaisir de lire est un plaisir solitaire. Il peut aussi être un plaisir de convivialité lorsque, au cours de conversations complices, on s’échange ses engouements, émotions et réflexions pour un auteur ou une œuvre que l’on a particulièrement reçue à cœur ou à idées. C’est ce qu’a très bien compris André Versaille en publiant une collection – tout juste sortie – de mini-livres faits de récits, contes, nouvelles, correspondances peu connus, où les impressions que l’on s’en fait peuvent être confrontées – ou confortées – à celles d’autres écrivains d’aujourd’hui, concernés par la chose littéraire. […] C’est très joliment fait. Avec un attachement particulier à la présentation très soignée qui fait partie de la maison et un souci de l’esthétique pour ce qui concerne les œuvres plus spécifiquement littéraires. La collection s’intitule “À s’offrir en partage”. C’est exactement le sens qu’elle a. On peut y ajouter celui du plaisir plus général d’en offrir l’un ou l’autre exemplaire autour de soi. Un cadeau personnalisé.

Monique Verdussen, La Libre Belgique, le 13 mars 2009)

Un trésor de collection

Sous l’intitulé un peu kitsch « À s’offrir en partage », c’est bien un trésor de collection que lance, le mois prochain, l’éditeur André Versaille. Il a, en effet, proposé à différents auteurs de dévoiler leurs jardins secrets littéraires. Ce texte qui, entre tous, les a profondément marqués. Pierre Assouline a choisi L’Héritage de Guy de Maupassant en souvenir de cette si jolie Désirée. Tout comme l’auteur de Lutétia, Tahar Ben Jelloun, Max Gallo dévoilent, eux aussi, leurs expériences intimes de lecteurs.

Le Magazine littéraire, février 2009

Une collection à découvrir, qui associe ce packaging parfait à un contenu tout aussi plaisant

Je voudrais souligner le plaisir matériel des ouvrages qui composent la collection « À s’offrir en partage » des éditions André Versaille : 5€, et surtout un format tout petit, tout pratique, qu’on peut emmener partout avec soi ! On renoue avec l’idée originale du livre « de poche » et j’adore ça ! Et puis c’est trop joli, cette petite lorgnette de la couverture sur la première page. Bref, une collection à découvrir, qui associe ce packaging parfait à un contenu tout aussi plaisant : les auteurs classiques sont remis au goût du jour. Si tant est qu’ils aient jamais été démodés, hein... Mais je me dis que si je ne les aimais pas, j’aurais peut-être envie de revenir sur mon jugement, avec ces jolies couleurs roses et jaunes !

Kalistina, Les lectures de Kalistina, 20 octobre 2009)

Des classiques courts et méconnus

Des classiques courts et méconnus, en version de poche, tel est le projet des éditions André Versaille. Ces jolis petits livres, vus ici et là sur les blogs, méritent de l’être un peu plus dans les librairies !

Kathel, Lettres exprès, 14 octobre 2009

découvrir ou de redécouvrir des textes classiques qui ont suscités l’attachement de lecteurs contemporains renommés

La collection « À s’offrir en partage » publiée aux Éditions André Versaille propose de découvrir ou de redécouvrir des textes classiques de toute nature (récits, nouvelles, essais, correspondances, extraits de Mémoires) connus ou tombés dans l’oubli, mais qui ont tous suscités l’attachement de lecteurs contemporains renommés (historiens, écrivains, journalistes, etc.) qui expliquent dans leur préface pourquoi le texte en question mérite d’être partagé.

Le blog de l’histoire, 24 septembre 2009

Un excellent moyen de renouer avec les classiques

Cette collection est un excellent moyen de renouer avec les classiques et (ou) de découvrir un auteur. Le format du livre et le nombre de pages ne sont pas décourageants, les préfaces et postfaces instructives. Un effort particulier a été apporté à l’esthétisme des ouvrages qui constituent la collection.

Sylire over-blog, 4 août 2009)

Pour aborder en douceur un auteur

Une ligne éditoriale originale qui permet de découvrir de courts textes fondamentaux, parfaits lorsque l’on souhaite aborder en douceur un auteur.

My Lou Book, le 15 juin 2009

André Versaille […] vient de lancer une très jolie collection : « À s’offrir en partage ». […]
Pourquoi ce nom ? Parce PAR-TA-GER est le maître mot d’André Versaille depuis l’adolescence, et qu’il conçoit le métier d’éditeur comme un métier de partage. Il a donc choisi de partager sa bibliothèque idéale. […]
Cette collection est riche à plusieurs égards :
À s'offrir en partage on redécouvre grâce à elle certains textes classiques moins connus ;
- on obtient des précisions biographiques sur ces grands écrivains (vous les trouverez en fin d’ouvrages) ;
- elle donne un éclairage sur les auteurs qui préfacent ces ouvrages, puisqu’ils y expliquent pourquoi ils ont accepté l’exercice et en quoi ces textes leurs sont chers.
À s’offrir en partage !

Au Field de la nuit, le 16 avril 2009

Des petits bijoux

Les Éditions André Versaille à Bruxelles ont lancé récemment une nouvelle collection appelée « À s’offrir en partage » dans laquelle on retrouve très joliment présentés au format de poche des textes anciens célèbres proposés par des intellectuels contemporains : […] Autant de petits bijoux précieux qui feront scintiller la bibliothèque de l’honnête homme contemporain…

Bernard Delcord, Lire est un plaisir, Homelit et Zazieweb le 5 avril 2009

Pour faire découvrir des auteurs que l’on aime

« À s’offrir en partage », la nouvelle collection de André Versaille Éditeur. Ce sont des textes courts à cinq euros le volume que l’on peut offrir aux autres pour faire découvrir des auteurs que l’on aime. Vous allez me dire il y a déjà les folio à deux euros, les librio... mais ici la mise en page est bicolore, un célèbre auteur présente l’œuvre […] et une postface présentant l’auteur. Il y a déjà des titres de Chateaubriand, de Paul Claudel, d’Alexandre Dumas, d’Antoine Galland, de Rudyard Kipling, de Maupassant, de Mirbeau, de Gérard de Nerval, de Maria Rainer Rilke, du Marquis de Sade et d’Alexis de Tocqueville.

Cecile’s blog, le 24 mars 2009